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Je n'ai pas peur du ciel, juste peur de tomber.

posté le 21-01-2012 à 14:30:17

Sans titre 3

 

 

« [...] J'arrête pas de m'imaginer tout ce qu'on pourrait faire, tout ce qu'on pourrait devenir tout les deux [...] Et j'imagine, pour commencer, que l'on commence à se parler, petit à petit, que l'on devient ami, que l'on devient proche, moi encore plus folle de toi, peu importe tes défauts, et finalement, toi fou de moi. On s'embrasse. Sous la pluie d'abord, un baiser passionnée, beau et désespéré, il est meilleur que tout ce que j'avais pu imaginé, j'y mets tout mon amour pour toi, celui que je garde pour moi depuis le début, et ça me fait tellement de bien. On ne se passe plus l'un de l'autre, on se voit en dehors des cours, on s'embrasse, sous le soleil, sous la neige, sous le ciel bleu, sous le ciel gris, dans le froid, au chaud, devant les autres, en intimité, quand on se croise dans les couloirs, on s'embrasse à n'en plus finir et c'est toujours aussi bon, c'est bien plus fort que tout ce que j'espérais. On s'intègre comme on peut à notre bande d'amis respective, on se confie tout, notre vie passée, nos ressentis, face au présent, face au futur, dans les plus petits détails, on rit sans cesse, on est forts ensemble et on aime parfois les mêmes choses, parfois pas. Je suis prête à tout entendre de toi, mon sourire ne me quitte plus et la joie me submerge quand je pense à toi. On s'engueule de temps en temps, peut-être même souvent, mais peu importe, on s'aime encore, et j'aime ça aussi parce que c'est avec toi. Je te couve du regard sans cesse, j'admire la beauté de tes traits, tes yeux qui s'illuminent quand tu parles de tes passions, du rugby, de ta famille. Je te contemple quand tu parles de toi, de moi, de nous, des autres, du monde, de la pluie et du beau temps. Je souris devant tes défauts, j'aime t'entendre râler, et j'espère tout le temps que toi aussi. Avec toi la vie est plus belle que jamais, on s'aime, on vit, on s'embrasse, on s'étreint, on se blottit l'un contre l'autre, on rit à n'en plus finir, on parle, et je pense sans cesse à combien je t'aime, à combien de fois j'avais rêvé et espéré tout ça, j'ai toujours du mal à y croire mais je le vis aussi fort que je peux. Je t'emmène quelque part, loin, tout près, n'importe où du moment que l'on puisse s'allonger dans l'herbe et regarder les étoiles.. Et qu'importe si cela ne dure pas éternellement. »

 

 

(Ecrit début 2012, début 4ème.)

 

 


 
 
 

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